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Hydratation en cyclisme......

Hydratation en cyclisme……

Hydratation en cyclisme.

Alors que les fortes chaleurs font monter le thermomètre a des températures folles ( 35 a 42 degrés ) pratiquer le cyclisme ( ou tout autre sport ) provoque de la transpiration.

Si , par une température de 35 degrès un coureur du TDF  , sur une étape de 200 km , va ” boire ” environ 12 litres …le cycliste   , cyclo sportif ou cyclotouriste pour une épreuve de 100 km  pourra-t-il boire 6 litres ?

Rien n’est moins sur et nombreux sont les cyclistes qui finissent déshydratés sans s’en rendre compte ..

Notre corps étant composé a plus de 60% d’eau   perdre  2% de son poids en eau reviendra a perdre 20% de ses capacités physiques .

Pesez vous avant de partir et au retour , faites la différence en ajoutant  le volume bu et vous allez vite arriver a 2 % de votre poids pour la sortie du dimanche matin qui se terminera a 30° en fin de matinée.

Si sur 150 km la puissance moyenne  était de 150 watts   , déshydraté elle ne sera plus que de 120 watts .

La déshydratation provoque une diminution des réflexes  et en descente c’est réellement dangereux.

Quand on est coureur pro , peu de soucis  car  pendant la préparation il y a des mesures régulières impédancemètrie pour justement mesurer l’hydratation mais aussi la masse maigre et la masse grasse .

Quand on est amateur  ou que l’on fait une sortie  en ligne il convient de   regarder ou il sera possible de se ravitailler en eau  mais ce ne sera pas suffisant car il faudra aussi  disposer d’un  apport de glucides et de sels minéraux ..Pour cela il faudra  avoir des sachets ou des pastilles a diluer afin de poursuivre la recharge en  carburant  tout en assurant un apport hydrique suffisant .

L’idéal , par des températures clémentes étant de boire 0.6l à l’heure  et  à 30° de doubler cette  quantité au minimum….

Au sujet des produits diététiques :

-il y a quelques années j’avais créé la marque Honey Sport , remarquable d’efficacité mais sans arome ( au  meme niveau que  Overstim  classement par Le CYCLE )  et  pourtant  il y a peu a imaginer pour cela puisque il y a des normes  pour que le produit puisse être considéré comment aliment de l’effort .
Les grandes différences sont dans la répartition des  composantes  et la niveau de pureté des composants et aussi par le fait que l’arôme n’est pas toujours supporté par lm’estomac.

 

Publié aussi sur le groupe : https://www.facebook.com/groups/440456357036290VB

VB

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